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Les Maisons et manoirs

Localisation :  Saint Quentin département de l'Aisne ( 02)

Type : Maison

Historique : Les évènements relatés ci-dessous sont issus des déclarations faits par le couple Belmer à la police et à la presse.

Lucie et Jean-Marc Belmer sont installés depuis le mois d’août 1985 dans cette petite maison. Lucie est femme au foyer et passe ses journées seules avec le chien de la famille tandis que Jean-Marc, routier, est souvent absent.

Un mois après leur emménagement, ils entendirent des bruits étranges venant du rez-de-chaussée : vaisselle cassée, portes qui claquent, mobilier déplacé, bruits de pas... Pourtant au matin, le couple constate que rien n’a bougé dans la maison. Un matin, la jeune femme trouve d’étranges taches rouges sur la table de la cuisine. Lucie a beau nettoyer les taches, elles reviennent dès le lendemain et se multiplient. Le couple en retrouve sur les murs, la literie, les vêtements pourtant rangés dans les tiroirs. D’abord localisées au rez-de-chaussée, elles apparaissent à l’étage par la suite.

Lucie rapporte également le comportement étrange de la porte menant à la cave. D’après elle, cette porte d’ordinaire fermée est retrouvée plusieurs fois ouverte. De plus lorsque Lucie descend à la cave, la porte se referme doucement derrière elle alors qu’elle reste immobile pour toute autre personne. Un exemple de traces de "sang" sur un des murs de la maison de Saint Quentin (image issue du reportage de Fr3 en 1986). Après avoir prévenu sa famille, Lucie fait appel à la police. Ce sont le brigadier-chef Guy Piette et le brigadier Pierre Cepparo qui prennent l’affaire en main. Ils constatent les traces de sang et soumettent des hypothèses. Les policiers eux-mêmes ont parfois entendus des bruits à l’étage, personne n’étant présent à cet endroit. Ils prirent un échantillon du liquide, et après analyse il s’est bien avéré qu'il s’agissait de sang humain. La police décide de recouvrir les sols de farine, de boucler la maison et de revenir le lendemain pour vérifier si un mauvais plaisantin n’aurait pas laissé des traces de pas. Le lendemain, la maison est retrouvée fermée, la farine intacte mais la police constate que de nouvelles tâches sont apparues. La famille habitant avant le couple victime, les Pironet, fut interrogée et affirma que jamais rien de tel ne s’était produit dans le passé.

Au final, la police acceptera l’intervention d’un medium qui pense très vite que la source du problème se situe à la cave. Il précisera également que Lucie est une jeune femme très réceptive aux esprits. Il ordonne qu’on creuse dans le sous-sol à un endroit précis. Cela se passe sous l’œil d’un reporter, des policiers et du propriétaire. L’opération ne donnera rien. Cependant le brigadier-chef Piette assure avoir senti des doigts se poser sur son avant-bras alors qu’il n’y avait personne derrière lui.

Sans explication et terrorisé, le couple finira par quitter bien vite cette maison, quelques mois après les premières apparitions de taches. La maison sera habitée par plusieurs locataires par la suite mais personne ne se plaindra de quoi que ce soit. 

Ouvert au public : Non

Restaurant à proximité : Le Troubadour

Hotel à proximité : Le Grand Hôtel ****

La maison qui saigne

Rue gallieni , Villers Outréaux

Localisation : Près de Cambrai département du Nord ( 59 )

Type : Maison

Historique : Depuis deux ans, la famille Larmigny, Marie, Christophe et leurs enfants, coule des jours heureux dans cette petite maison situé dans l’Aisne. Mais Marie, elle, s’est toujours sentie observée depuis leur emménagement, sans jamais vraiment savoir l’expliquer. « Il y avait des choses qui se passaient ici » témoigne le locataire à la presse. Ces « choses », le couple n’y avait jamais trop prêté attention jusqu’à ce jour du 26 août, où Stéphane décide d’abattre l’arbre devant la maison. Le moteur de sa première tronçonneuse a cramé, la seconde a vu sa chaîne sauter « une vingtaine de fois ». « Depuis ce jour, on a ressenti une présence à l’intérieur », explique Christophe Larmigny. Sa femme et ses enfants se plaignent d’apparitions, des visages, des formes, des bruits étranges, inexplicables et inexpliqués. « Ça a commencé par des bruits dans la cage d’escalier. Nos enfants poussaient des cris de terreur la nuit car ils voyaient des visages. Les portes claquaient derrière nous sans qu’il y ait le moindre courant d’air. On entendait des bruits de pas en haut alors que personne n’y était et des chuchotements le soir », détaille le couple, persuadé que l’arbre est la cause de ces phénomènes« Un jour je me suis levé : j’avais des traces de doigts sur la poitrine. Un autre jour c’était la marque d’un chiffre sur mon poignet », rapporte le locataire.  Pour se convaincre qu’il n’a pas cédé à des divagations, le couple réalise une série de photos prises à différents endroits de la maison. Sur celles-ci on aperçoit des « masses » dans lesquelles on distinguerait des visages en train d’observer les occupants.

Ouvert au public : Non

Restaurant à proximité : O Gout du Jour

Hotel à proximité : Logis le Mouton Blanc ***

Le manoir de Sainte Geneviève des brumes

Localisation : Bouchevilliers département de la Seine-Maritime ( 76)

Type : Manoir

Historique : La tradition locale rapporte qu'au lendemain de l'arrestation des Templiers, (L'ordre du Temple était un ordre religieux et militaire issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, dont les membres étaient appelés les Templiers), un convoi de chevaliers du Temple vint a Bouchevilliers. Ils se seraient livré à d'énigmatiques travaux de maçonnerie dans les sous terrains du manoir, à partir du pigeonnier de la cour centrale, pour y enfouir un mystérieux dépôt. On dit que 50 d'entre eux, ceux qui s'étaient chargés directement des travaux, furent murés avec les coffres. Plusieurs phénomènes paranormaux y sont relatés. Les manifestations spectrales ont lieu principalement de nuit, et sont aussi bien auditives que visuelles. On peut ainsi entendre des coups et des sons de cloches venus de nulle part, a l'intérieur du manoir. Parfois, un souffle glacial émane de certains murs, notamment celui jouxtant l'escalier qui mène à la grande salle du premier étage. Tandis qu'a l'extérieur, dans la partie nord du domaine, on peut voir un cercueil fantôme qui erre, évoquant un sarcophage égyptien. Parfois, on peut même voir, en plein jour, la procession de 3 moines fantômes : ils apparaissent sur les rives de l'Epte et se dirigent lentement vers l'église, pour ensuite s'évanouir dans l'air. Un fantôme féminin, le visage pâle, les traits tirés, aux longs cheveux diaphanes, se manifeste aussi. Le bois est hanté, la nuit de Noël, par le spectre d'Isabelle de Bouchevilliers. Son histoire... : à la suite du décès de son époux lors d'une partie de chasse aux sangliers, Isabelle de Bouchevilliers ne prenait plus plaisir à participer aux festivités de Noël. Cette belle châtelaine n'avait peur de personnes et encore moins de Dieu ou du Diable. La nuit du 24 décembre 1470, en attendant l'heure de la messe, Isabelle se mit à l'écart des convives et fixait la campagne enneigée. Soudain, un choc se produisit contre une fenêtre et le regard de la belle dame devint exorbitant. Elle se leva soudainement et décida d'aller chasser, en pleine nuit d'hiver. Aucuns des convives présents ce soir-là n'osa la contredire. Elle fit seller sa monture ainsi que celle de sa fille, et fit préparer la meute de chiens. Mais personne ne se montra assez brave pour la suivre. Au lendemain, seule réapparut sa petite fille, tremblant de froide et cramponnée à l'encolure de son cheval. Mais personne ne revit Isabelle et sa meute. On raconte que chaque nuit de Noël, Isabelle la Maudite et sa meute chasse dans un bruit infernal et que dans le village, on entend ces chiens hurler à la mort, on peut voir des ombres inquiétantes remonter vers le manoir accompagnés d'un vent violent et inquiétant.

Le château semble intéresser beaucoup de personnes, qui font en sorte de ne pas trop manifester leur présence. Ainsi, un ancien propriétaire du manoir révéla qu'il avait souvent remarqué, à la nuit tombée, des voitures qui venaient stationner, phares éteints, devant le château. Fréquemment, il ne retrouvait, au matin, des traces du passage de visiteurs nocturnes. Il reçut également de nombreuses visites d'officiers de polices, venus, sans raison, lui rappeler qu'il était interdit d'entreprendre des fouilles sans autorisation. Il apprit aussi, de source sure, que de hauts fonctionnaires et des personnalités politiques s'intéressaient de près à Ste Geneviève des Brumes. Daniel Reju (journaliste, écrivain, historien spécialiste de Malachie) a écrit à propos de la demeure « aucun propriétaire n'a pu se maintenir très longtemps a Bouchevilliers : faillites, décès, difficultés de santé, qu'ils soient cultivateurs ou qu'ils viennent de la ville, la vieille demeure semble les rejeter systématiquement, comme s'ils avaient violé un sanctuaire, comme si les murs, saturés d'horreur, ne pouvaient plus tolérer nulle présence humaine ».

Ouvert au public : Non

Restaurant à proximité : A l’Epoque

Hotel à proximité : Château d’Amécourt (chambres d’hôte)

La Maison de Hem

Localisation : Villeneuve-d’Asqc dans le département du Nord,

Type : Maison

HistoriquePremièrement la triste histoire d’un couple vivant avec leur garçon au sein de la maison il y a déjà plusieurs années. Agé de 5 ans, l'enfant décède d'une mort mystérieuse dans la maison. Après la mort de leur enfant, à cause de la douleur qui les emparait, le couple décida de quitter la maison. Il est dit que par la suite, tous les autres locataires ne restaient que très peu de temps dans la maison, 2 jours pour certains ou 3 mois pour d'autres. Ils auraient entendus des bruits de pas, pleurs et rires d'enfant, ce qui les a poussés à quitter les lieux le plus vite possible. On raconte aussi que « il y a eu 3 ou 4 couples qui ont habité cette maison, et à chaque fois les hommes se pendaient dans la même pièce », pièce où le petit garçon de 5 ans était lui aussi décédé. A cause de tous ces évènements, il est dit que la mairie aurait voulu reconstruire cette maison afin « d’enlever les mauvais esprits qui l’habitent, les malédictions », voir même la démolir. Mais, étonnamment, toutes les machines qui devaient servir tombaient en panne devant le mur de cette dernière. La mairie n'a eu d'autres solutions que de murer les entrées et fenêtres de la maison, laissant uniquement la fenêtre de la chambre du petit garçon. Un panneau « propriété privée attention danger » a été installé ainsi qu’un grillage tout autour de la maison. Un berger allemand a été mis là pour monter la garde et éloigner les curieux, un peu trop nombreux, de cette maison. A présent les seuls qui ont accès à la maison est un couple d’agriculteurs retraités qui vient cultiver des patates et s'occuper du chien, mais la maison n'étant pas équipée ni d'électricité ni de chauffage central, ils n'y résident pas. Une autre rumeur qui cours, celle de la cheminée qui se met brusquement à fumer durant quelques secondes, et de la lumière qui apparaît dans la chambre des pendus et du petit enfant. Les nombreux témoignages de personnes ayant visité ou approché la maison restent troublant. Mais beaucoup de ces faits n’étant pas vérifiés, le doute sur cette maison reste. Aujourd’hui un prêtre a racheté la maison afin d’y créer une bâtisse religieuse. La communauté religieuse qui occupe la maison aujourd’hui affirme elle qu’aucun de ces faits ne seraient vrais, qu’ils y sont 7j/7 et qu’ils n’ont remarqués aucuns faits surnaturels ou paranormaux. Ils ont restauré l’intérieur de la maison sans aucuns problèmes, et pensent que l’homme a purement inventé toutes ces histoires qui ont pris beaucoup trop d’ampleur. Faits à vérifier.....

Ouvert au public : Non

Restaurant à proximité : La Table

Hotel à proximité : Park Inn by Radisson Lille Grand Stade ****

L'Appartement du Square la Bruyère 

Localisation : Paris 9ème arrondissement

Type : Appartement

HistoriqueIl semblerait que l'Office HLM de Paris se refuse de louer une centaines d'appartements dans Paris,parce que des faits sanglants se sont ou se seraient déroulés dans ces lieux.Ainsi, square La Bruyère, dans l'immeuble où demeure, entre autres, le metteur en scène Jean-Claude Carrière, il existe un appartement très étrange. Il y a quelques années, son locataire est découpé à la scie. On retrouva son cadavre dans une malle d'osier à la consigne de la gare de Lyon. L'occupante suivante, une antiquaire, fit faillite peu après son installation et se suicida, une force l'ayant poussée à mettre fin à ses jours, comme elle l'expliqua dans un document retrouvé dans l'appartement. Le locataire suivant mourut dans des circonstances inexplicables. Ses amis racontèrent plus tard qu'il n'était pas parvenu à s'habituer à une odeur épouvantable qui semblait suinté des murs, et que ses plantes d'appartement étaient mortes les unes après les autres, dès son installation. Enfin, la dernière occupante, fille d'un commissaire de police, se jeta par la fenêtre les mains entravées par des menottes et la bouche bardée de sparadrap. Elle laissa aussi une lettre, où elle disait notamment ceci : "Personne ne me croira, mais La chose m'a dit de mourir, car il faut qu'on comprenne que personne ne doit habiter ici." Depuis, l'Office des HLM de Paris s'est refusé à relouer cet appartement.

Ouvert au public : Non

Restaurant à proximité : Augusto

Hotel à proximité : Hôtel Opéra Frochot ***

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